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Andalou
de pure souche, Caco ne se remet pas de la mort de sa fille. Pour tromper
sa tristesse, il arpente les bars et écume les fêtes grandioses
en compagnie de son neveu Diego, un handicapé physique, amateur
de flamenco et de femmes. Lentement, il sombre dans l'alcool et l'amertume...
Voilà le premier film sur, avec et pour le flamenco ! Tourné
au coeur de l'Andalousie, le passionné et bouleversant Vengo
réussit à rendre l'essence de cette musique fiévreuse
et intense qui est aussi une danse, à moins que ce ne soit l'inverse. |
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STUDIO MAGAZINE - Michel Rebichon : Voilà un film aux
couleurs de sable et de sang qui vous laisse des pépites dor
plein les yeux. Et des frémissements plein le cur. Un film
bouleversant et magnifique qui réussit à rendre, par écran
interposé, lessence même de cette musique qui est
aussi une danse, à moins que ce soit linverse. Un film
dont la puissance et loriginalité, la rigueur et lémotion
vous feront mordre la pousière.
PREMIERE - Christophe Narbonne : Ce nest dailleurs pas tant le scénario linéaire
(le petit défaut des films de Gatlif) qui interpelle que lénergie
bouillonnante insufflée par les personnages, incarnés
sans fausses notes par des non-professionnels, et la musique live.
L'EXPRESS - Eric Libiot : Dans Vengo, Tony Gatlif, gitan d'origine
et compositeur de plusieurs de ses musiques de films, n'utilise pas
le flamenco, il se coule à l'intérieur pour faire sentir le battement
de son sang, le tourment de sa douleur et la pureté rageuse de son lyrisme
en sueur.
TELERAMA - Louis Guichard : Tony Gatlif est heureusement incorrigible.
Même lorsqu'il signe un film "sédentaire", le réalisateur des Princes
fait tonner la complainte viscérale et déchirante de l'éternel déraciné.
LE MONDE - Thomas Sotine l:(...) cette brutalité, cette
simplicité qui semble par instants confiner à l'imbécillité,
sont en fait une grande générosité faite à
ceux et celles qui viendront voir le film.
Les Cahiers du Cinéma - Jérôme Larcher : Il n'y a probablement
pas meilleur cinéaste français qui sache aussi bien filmer la danse,
la musique et le chant que Tony Gatlif |
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Durée :1 heure 30 mn
Production : Les Princes Films / Une coproduction ARTE France
Cinéma et Astrolabio Producciones (Espagne) avec la participation
de Canal + et de Sofica Sofinergie 5 et de Senator Film - Nikkatsu
Distribution : UFD - 2 avenue Montaigne 75008 PARIS tél. 01 53
67 17 17 fax 01 53 67 17 00
Réalisation : Tony Gatlif
Scénario origina l: Tony Gatlif
Adaptation et dialogues : Tony Gatlif avec la collaboration de
David Trueba
Musique : Tomatito,Gritos de Guerra, Sheikh Al Tuni, La Caita,
Tony Gatlif
Photo : Thierry Pouget
Montage son : Régis Leroux
Les rôles : Antonio Canales (Caco) -Orestes Villasan Rodriguez
(Diego) -Antonio Perez Dechent (Primo Alejandro) -BobotePrimo (Antonio)
-Juan Luis Corrientes (Primo Tres) -Frenando Guerrero Rebollo (Fernando
Caravaca) -Frabcisco Chavero Rios (Francisco Caravaca) -Jose Ramirez
El Cheli,Juan Luis Barrios Llorente,Jesus Maria Ventura,Pepe Sardina
(Primos Caravaca) -El Moro (Pepe Sardina) -Manuel Vega Salazar (Anselmo)
-Maria Faraco (La Catalana) -Natasha Mayghine (Alma) -Maria Altea Maya
et Tomatito Sheikh Ahmad Al Tuni La Caita Gritos de Guerra Remedios
Silva Pisa La Paquera de Jerez (La Coneja). |
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